dimanche 7 octobre 2012

Titanic

   Ah, qu'il est cruel, mon orgueil me forçant à relever tous les défis ! Sans lui, vous ne seriez pas en train de vous régaler de cette chronique, parce que jamais au grand jamais je n'aurais revu et chroniqué ce film de mon plein gré. Mais voilà, m'étant imprudemment vantée de pouvoir chroniquer n'importe quoi, pas moyen de faire demi-tour, à moins de passer pour une truffe (enfin, encore plus que d'habitude). Et c'est totalement la faute de Sats si vous pouvez lire la chronique du Titanic. Ah, et puis... SPOILER !!! LE BATEAU COULE !!! (comme ça, c'est fait).


   Réalisé par James Cameron, qui nous offrit des oeuvres telles que Terminator, Terminator 2, Abyss, True Lies et Piranha 2, et qui réalisera ensuite Avatar, il raconte l'histoire du seul et unique voyage du Titanic (ne riez pas, ce n'est pas si évident !), pendant lequel un gueux va s'éprendre d'une riche oisive, et ils vont roucouler ensemble jusqu'à la conclusion aquatique.

samedi 6 octobre 2012

Batman : le défi

   Grisée par l'envie d'écrire et le fait que cette fois, je maîtrise à peu près mon clavier souple qui est une plaie pour mon rythme de frappe, j'entame la seconde chronique de cette série, en espérant qu'elle ne va pas pourrir dans un coin de mon ordinateur pendant deux siècles. Allumons le bat-signal, sautons dans la batmobile, car voilà que se profile au loin Batman : le défi !


   Encore un film réalisé par mon idole Tim "les peignes sont mes amis" Burton (parce qu'on ne se lasse pas des blagues sur les cheveux), c'est apparemment la suite du premier Batman chroniqué ici. Je vous engage à jeter un oeil à la chronique, parce que j'y ferai souvent référence. Dans ce volet, sorti en 1992, le justicier en cuir et plastique noir se retrouve pris entre plusieurs feux, et doit défendre Gotham des agissements du Pingouin et de l'effroyable et distingué Max Shreck, tout en essayant de ne pas se faire mettre des bâtons dans les roues par Catwoman.

mardi 4 septembre 2012

Michael Clarke Duncan

   Cette fois-ci, je prends ma plume informatique, non pas pour disséquer avec joie un quelconque film qui m'aura plu, mais pour rendre hommage à un acteur qui nous a trop tôt quittés. Michael Clarke Duncan est décédé hier des suites d'un infarctus du myocarde, à l'âge bien trop jeune de 54 ans.


vendredi 17 août 2012

The Blues Brothers

   Maintenant me paraît le moment idal pour commencer cette chronique, étant donné que je suis en train de regarder le film (bénie soit la programmation de la TNT). Ca fait un moment que je me le garde sous le coude, et étant donné son taux élevé d'awesomeness, il fallait bien que je le partage avec une chronique bourrée de photos, de mots d'esprit, de respect intense et de fautes de frappe, mais je n'ai pas tellement l'habitude de mon clavier souple. Ladies, men, and ladies who dress like men, allow me to give you... THE BLUES BROTHERS !!


   Je tiens à l'avance à m'excuser pour les insanités, contre-sens et blagues privées que je risque de sortir au kilomètre, mais ce film étant placé très haut dans mon palmarès personnel et celui de quelques-unes de mes connaissances, je l'ai vu un nombre incalculable de fois, et je suis en train de couiner comme une poulie qui grince en le regardant. Je ferai néanmoins de mon mieux.
   Alors que dire sur cette oeuvre ? Réalisé par John Landis, qui fit également des choses comme American College, le Loup-garou de Londres, le Cheeseburger Film Sandwich, Un prince à New York, Le flic de Beverly Hills III et Blues Brothers 2000 pour ne citer que ceux-là, il est sorti en 1980, ce qui ne nous rajeunit pas, et raconte la quête de deux frères pour remonter leur groupe de musique et obtenir la somme nécessaire pour sauver l'orphelinat où ils ont grandi des griffes des impôts.

samedi 14 avril 2012

Exposition Tim Burton

   Ce blog traitant de cinéma, de films et de tout ce qui nous amuse à regarder sur un écran, il me paraît logique de faire un petit article sur ce que je viens d'aller voir à la Cinémathèque de Paris :

L'exposition Tim Burton


samedi 7 avril 2012

Scott Pilgrim vs. The World

   Après une longue absence sur ce blog pour cause de vie, voici enfin une nouvelle chronique. Geeks et geekettes, ouvrez vos esgourdes ! Voici un film pour vous (et pour tous les autres, on est pas sectaires !). Posez vos manettes, vos jeux, vos livres de SF ou tout ce que vous étiez en train de faire (et que je ne veux pas savoir), et venez tous écouter la fabuleuse histoire de Scott Pilgrim vs. The World !


   Une adaptation de comic de plus à venir tomber dans mes filets. A ce rythme-là, on aura bientôt fait le tour. Qu'est-ce qui différencie Scott Pilgrim des autres ? Déjà, c'est un roman graphique canadien. Ecrit par Bryan Lee O'Malley, et publié entre 2004 et 2010 de l'autre côté du rift atlantique, qui narre les aventures du personnage du même nom (Scott, bien sûr, pas Bryan, atlantique ou publié), dans sa lutte pour conquérir la belle Ramona. Dit comme ça, on pourrait penser à un roman à l'eau de rose, mais ne vous y laissez pas tromper : il y a de tout, dans Scott Pilgrim, et pour tout le monde ! En plus, il est réalisé par Edgar Wright, qui a déjà fait Hot Fuzz et Shaun of the Dead, et qui non content de connaître son métier, sait visiblement faire des films qui tiennent le haut du panier. Que du tout bon !

mercredi 29 février 2012

Batman

   Bon sang, voilà-t-y pas qu'on me fait des requêtes de chroniques ! Et comme il s'agit de séries de films à grand spectacle, et que j'ai pas trop envie de saoûler le chaland, j'alternerai avec d'autres chroniques. Commençons donc par la plus longue des séries demandées, les films de Batman. Et comme je suis une flemme et que j'ai jamais vu le fabuleux film avec Adam West et des boulets avec des mèches, on va commencer par le premier Batman (moderne) (qui malheureusement a un titre assez peu clair). Donc... TADADADADADADADADADA BATMAAAAAAAN !


   Penchons-nous donc sur la version de 1989 de Batman. Adapté du comic du même nom, créé par Bob Kane et Bill Finger dans Detective Comics #27 en 1939 (merci wikipedia), et mettant en scène un riche play-boy sans super-pouvoirs mais au compte en banque bien rempli, qui la nuit enfile le costume du Chevalier Noir pour aller combattre le crime dans les rues mal famées de Gotham City, ce film, réalisé par l'excellent Tim "un peigne ? c'est quoi ?" Burton, met en scène le guerrier de la nuit aux prises avec l'un de ses ennemis les plus célèbres : le Joker !
(Je tente de battre mon record de la phrase la plus longue, on dirait.)

samedi 18 février 2012

L'incroyable destin de Harold Crick

   Je ne remercierai jamais l'individu (qui, je suppose, tient à garder l'anonymat) (et sinon, c'est le même prix) qui, dans une floppée de films, nous a remis celui-là. Loin, bien loin des films d'action bas du front et autres neuneuteries qui composaient notre pain quotidien à l'époque, il me tendait ses petites mains, mais le son pourri a fait que je ne l'ai découvert que récemment. Et j'ai bien, bien regretté de ne pas l'avoir vu plus tôt. Et ce film miracle qui m'a fait couiner comme un jouet pour chien, c'est L'incroyable destin de Harold Crick (Stranger than Fiction en VO).


   Réalisé par Mark Forster, qui est également responsable entre autres de Neverland, Quantum of Solace, et les Cerfs-volants de Kaboul, et qui nous prépare un film de zombies avec Brad Pitt (insérer ici des cris de fangirl hystérique), et sorti en 2006, ce film raconte l'histoire d'un agent de l'IRS sans histoires, dont la vie va complètement changer un jour, alors qu'il commence à entendre une narration...

vendredi 10 février 2012

Watchmen

   Je sais, ça fait un moment que je n'ai rien posté, et je continue joyeusement de traîner ma flemme. Mais enfin, voici une petite chronique qui moisit sur mon disque dur depuis un bon mois, et que j'ai enfin réussi à me botter les fesses pour finir. Pour vous, aujourd'hui : Watchmen.


   Adapté du roman graphique d'Alan Moore et Dave Gibbons, publié en 1986-87 par DC Comics, il a été réalisé par Zack Snyder, qui a également réalisé le remake de Dawn of the Dead et 300 et est sorti en 2009. Donc, c'est pas la moitié d'un manche. Ca part bien. Et en plus, il est entouré de bons gens.

lundi 6 février 2012

Une petite requête...

   Devant le nombre sans cesse croissant de visites sur ce blog que j'en suis la première bluffée, je tiens, d'abord à remercier grandement les celles et ceusses qui viennent lire les insanités que je raconte sur des films à longueur de temps. Sérieux (terme indiquant que je suis tout à fait sincère), ça me fait vraiment plaisir de voir que des gens viennent lire mes âneries. Comptez sur moi pour faire de mon mieux et vous pondre de nouvelles chroniques.

   Je pose maintenant mon discours de remise d'Oscars et je profite de ce billet (j'aime plus ce mot que "post" ou "message". "Billet", ça fait billet doux !) pour attirer votre attention sur la fonction commentaires disponibles. Non pas que je réclame de "lâcher des commzzzzzz !!!!!", je ne suis pas ce genre de femme (j'en suis une, il paraît) ! Ni d'ailleurs, que je vous demande de poster des "trop bien ta chronique" ou "ferme ton clapet, vieille chouette", voire "tu n'y connais rien". Mais ça serait intéressant de comparer les avis sur les films, je pense bien que je ne suis pas (trop) une référence. 

   Mais pas de commentaires, j'vais pas pleurer, hein ! J'irai contempler mes statistiques épicétout !

Anthony Hopkins en Hannibal Lecter faisant de l'air piano 
après avoir mangé quelqu'un. Pour toi, public.

samedi 28 janvier 2012

Gladiator

   Aujourd'hui, nous allons étudier... un peplum. Sans accent parce que c'est un mot latin. Ah, le peplum. Ses héros musclés n'arborant qu'un pagne et une généreuse couche d'huile, affrontant sans sourciller armées de méchants, dieux vengeurs, créatures immondes et cartonneuses à grands coups de glaive et de rochers en carton, dans des décors de colonnes et de statues en plâtre véritable. Ils sentaient bon le sable chaud, nos héros mythologiques joués avec une subtilité rare par des bodybuildés (pas) expressifs. C'est avec un peu de tristesse qu'on (pas moi, j'étais pas née) a vu disparaître des écrans ces films naïfs parfois, grandioses... parfois aussi, et souvent distrayants (ne serait-ce que pour les rochers et les monstres en carton). Il y a quelque temps, pourtant, quelques peplums ont timidement pointé le nez, nous laissant penser que peut-être, toutes les têtes de l'hydre n'avaient pas été tranchées. De grandes productions visant à redorer le blason du héros casqué et des combats dans le sable. C'est sur l'un d'eux que nous allons nous pencher, et ne jouez pas les surpris, vous avez lu le titre, après tout. Aujourd'hui, donc, Gladiator (et si je pouvais arrêter de taper GLaDIaTOR comme GLaDOS, je serais bien contente). Mesdames et messieurs... GLADIATOOOOOOR !


   Réalisé par Ridley Scott, qui n'en est pas à son coup d'essai, puisqu'il nous a donné Alien, Blade Runner, Christophe Colomb, La chute du faucon noir, Kingdom of Heaven, Robin des bois Origins pour ne citer que ceux-là, et sorti en 2000, il raconte l'histoire d'un général romain que le fils de l'empereur prend dans son colimateur, et qui après avoir tout perdu, revient en tant que gladiateur pour se venger.

jeudi 19 janvier 2012

Bunraku

   20h00. Je ne connais pas encore Bunraku. Je suis encore saine d'esprit, enfin ce qu'il en reste. 20h30. C'est le début. Adieu cerveau et tout le reste. Et comme je suis une méchante, et qu'on m'a fait voir ce truc mange-cerveau, je tente à mon tour de le faire regarder à d'autres, pour continuer la chaîne de mangeage de cerveaux.

  
   Bunraku, c'est un ovni. C'est bizarre. Etrange, même. Je pense que tenter de classer ce film dans une jolie petite boîte revient à tenter de visser un clou avec une sardine : non seulement ça ne marche pas, mais en plus on en a plein les doigts. Je pense que quelques mots de présentation permettront d'y voir plus clair, et vous pousseront tous vers vos supermarchés habituels pour faire une provision de Bunraku et les regarder jusqu'à usure.
   Réalisé par un certain Guy Moshe, Grand Inconnu devant l'Eternel puisque ce n'est que son second long-métrage et que je ne connais pas le premier, ce film est sorti en 2010 sous le film Bunraku - les vengeurs. On se demande encore comment, mais Guy a réussi à s'entourer d'un sacrée bande de zèbres, et pas des moindres.